Saint-Bruno:ville pourrie ou ville délicieuse?

En me promenant hors Saint-Bruno, on me pose souvent des questions sur ma ville, qui a été l’objet à répétition de publicité négative de la part de l’équipe dans l’opposition.

À ces questions, je réponds qu’avec l’équipe Benjamin, ma ville a mérité de nombreux prix très enviables au cours des dernières années : le prix Action municipale et famille en 2008, dans la catégorie 10 000 à 25 000 habitants; le prix Collectivités en fleurs en 2008, ville canadienne gagnante; les Fleurons du Québec, la seule municipalité au Québec avec 5 fleurons; et la mention Municipalité amie des enfants.

De plus, selon une étude publiée dans le journal La Presse en 2011, l’avis d’imposition de notre ville a progressé de seulement 6,4 % de 2006 à 2011, ce qui place Saint-Bruno dans le peloton de tête des villes les plus abordables au Québec. Quel contraste entre le discours de l’opposition et la réalité des faits!

À la question « Que faites-vous du dossier de l’UPAC contre l’administration Benjamin? », je réponds : « Que pensez-vous d’un homme, qui est prêt à salir la réputation de sa propre ville, en déposant un dossier à l’UPAC sans aucune preuve, selon ses propres dires, par simple calcul politique? » Avec le climat, qui découle de la Commission Charbonneau, cette accusation, non fondée, a fait mal à la réputation de Saint-Bruno.

Moi, je répète que le maire Claude Benjamin et son équipe sont des personnes honnêtes et droites, qui ont travaillé dans les meilleurs intérêts des citoyens, avec des résultats qui feraient l’envie de bien des Villes.

 

Jean P. Richard

Résidant de Saint-Bruno