Julie Lavallée pour Maxime Bernier

Candidate du Parti populaire du Canada dans Montarville

Les Canadiens se choisiront un nouveau gouvernement le 21 octobre prochain. Le journal Les Versants a décidé de s’entretenir avec l’ensemble des candidats de la circonscription de Montarville pour les présenter aux citoyens. La diffusion des entretiens respectera un ordre alphabétique.

Julie Lavallée, du Parti populaire du Canada, a œuvré dans le domaine des affaires et des communications, ce qui l’a amenée à habiter et à voyager à travers le monde, des Amériques à l’Asie, en passant par l’Afrique, le Moyen-Orient et l’Europe. Dans le cadre de cette élection fédérale, Julie Lavallée, qui n’a pas d’enfant, fait le saut en politique et se présente dans Montarville, qui comprend les municipalités de Saint-Bruno-de-Montarville, Saint-Basile-le-Grand, Sainte-Julie, ainsi qu’une partie de Longueuil.

« Il n’y a eu aucun parachutage. Je voulais cela, devenir candidate dans Montarville. C’est mon choix. » – Julie Lavallée

Présentez-vous… qui est Julie Lavallée?

« Je suis née à Montréal et je demeure à Anjou. À la fin des années 90, j’ai fait des études en administration des affaires et du marketing automobile. Ensuite, j’ai complété d’autres études, en commercialisation de la mode (2000), et plus tard, en journalisme, en relations publiques et en communication promotionnelle. En 2012, j’ai réussi un programme de courtage immobilier résidentiel. Aujourd’hui, je m’occupe de faire de la restructuration d’entreprises et des acquisitions immobilières. »

Pourquoi avez-vous décidé de faire le saut en politique?

« J’ai été approchée par Maxime Bernier et par un ami de longue date, également candidat du Parti populaire du Canada (PPC) dans Pierre-Boucher – Les Patriotes – Verchères [Clifford Albert]. La raison pour laquelle j’ai pris cette décision, c’est Maxime Bernier. Je trouve que c’est un homme courageux d’avoir fondé son propre parti. Ça prend du guts, comme disent mes parents, qui me soutiennent très bien dans ce choix. »

Comment le PPC vous rejoint-il?

« J’ai été attirée par la plateforme du Parti populaire du Canada. Le programme me rejoint dans mes visions et mes valeurs fondamentales : l’équité, la liberté d’expression, le respect des autres… Pour moi, c’est le bon moment pour utiliser ma voix et m’exprimer; j’ai envie de m’impliquer. »

Que connaissez-vous de la circonscription de Montarville?

« Je demeure encore de l’autre côté du tunnel, mais je suis à proximité de la circonscription. Plus jeune, j’y passais beaucoup de temps. Encore aujourd’hui, j’y retourne souvent pour plusieurs raisons. Je vais à Saint-Bruno pour la station de ski et j’ai de la famille à Sainte-Julie. Je magasine dans les commerces sur le chemin du Fer-à-Cheval et dans le Domaine des Haut-Bois. Parfois, je vais remettre des dons à l’organisme de charité de Sainte-Julie. La circonscription, dans son ensemble, est un bel endroit. Les gens sont ouverts, gentils, accueillants, chaleureux. C’est agréable. C’est un lieu où il fait bon vivre. Ce n’est pas loin; je n’ai qu’à traverser le tunnel. »

Est-ce pour cette raison que vous êtes candidate dans Montarville?

« Il n’y a eu aucun parachutage. Je voulais cela, devenir candidate dans Montarville. C’est mon choix. »

Que pensez-vous du député sortant dans Montarville, le candidat libéral Michel Picard?

« Je ne suis pas là pour dénigrer son travail. Je sais qu’il a bien fait les choses. C’est quelqu’un d’apprécié dans la circonscription. Cependant, il est maintenant le temps pour du changement. »

De quelle façon serez-vous présente durant les 40 jours de la campagne électorale?

« Pour être sur place, j’ai l’intention de faire des allers-retours entre Montréal et la circonscription afin d’aller à la rencontre des citoyens. Même si je ne demeure pas dans la région, rien ne m’empêche d’être présente. J’ai déjà commencé à faire mon porte-à-porte et je continuerai au cours des prochains jours. »

Quels sont, selon vous, les enjeux dans la circonscription de Montarville?

« À Saint-Basile-le-Grand, il y a toute la question de l’agriculture qui est importante. Aussi, l’aspect du multiculturalisme. Il y a une belle diversité dans la circonscription, mais les gens se posent des questions, veulent savoir ce qui se passera. C’est ce que j’entends dans les commentaires. Les gens se questionnent à propos de l’immigration. »

Avez-vous un local électoral pour la durée de la campagne?

« Pas du tout! J’aurai un bureau au lendemain du 21 octobre, quand je serai élue. En attendant, je suis partout à la fois. Je suis très flexible. Mon bureau, c’est ma voiture. »

Vous remportez vos élections le 21 octobre, quelles sont vos priorités dans Montarville?

« J’aime écouter les gens, alors je veux être à l’écoute des citoyens, à l’écoute de leurs besoins. Je veux qu’ils sachent que je serai disponible pour eux, que je serai leur voix. Une fois élue, je serai aussi sur le terrain. »

QUESTION AUX LECTEURS :

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