Le Parti vert du Québec dans Chambly

La Carignoise Mary Harper se lance dans la course au poste de députée de Chambly sous la bannière du Parti vert du Québec.

« Je suis maman d’un enfant fréquentant l’école de La Roselière depuis cinq ans, et j’habite Carignan. J’ai 37 ans, et je suis très attachée à ma communauté et mon coin de pays. Je veux défendre notre riche diversité, ce qui m’a poussée à m’engager sous l’étiquette du Parti vert ».

Mme Harper, diplômée en technique policière et en administration de sécurité, après avoir travaillé pendant cinq ans dans l’aviation, a commencé, plus récemment, des études universitaires en sociologie. « Quelque soit l’issue du scrutin du 7 avril prochain, je resterai toujours impliquée au service de ma communauté. » 

Le Parti vert du Québec partage les valeurs fondamentales du « Global Greens », organisation parapluie soutenant tous les Partis Verts du monde entier. Ces valeurs sont déjà bien connues : sagesse écologique, démocratie participative, justice sociale, développement durable, non-violence et  respect de la diversité. « Pour que notre communauté profite totalement de ces grands principes, il est important de comprendre que le développement durable, les questions écologiques et économiques sont inter reliées ».

Les propositions du PVQ

Le Parti vert propose des actions énergiques mais progressives en vue de l’organisation d’un transport public gratuit pour les aînés et les personnes à mobilité réduite, pour les étudiants, et, finalement, pour tous les usagers d’ici 2016. L’implantation du biodiésel pour les transports publics sera prioritaire. Tout cela créera des emplois locaux verts et durables, et atténuera les fardeaux financiers des municipalités. Ces actions seront complétées par un portefeuille de « contributions carbone »  en collaboration avec des entreprises, et par un transfert des fonds provenant de l’usage de l’automobile (meilleure utilisation des taxes sur l’essence, stationnements incitatifs, etc.). Un système semblable peut également s’organiser pour le compostage, et ces actions allégeront les taxes municipales pour les citoyens, et créeront des revenus tout en réduisant les coûts d’investissements municipaux.  

La sagesse écologique et le développement durable sont inter-reliés quand on parle du trafic sur le 116. Le problème actuel est dû au fait que la ville est construite de manière à renforcer notre dépendance à l’automobile privée. Si le système de transport public a été mieux adapté pour répondre aux besoins de tous les citoyens, il n’y aurait pas un problème avec le stationnement de la gare. Les développements futurs dans la construction et la planification doivent prendre en considération une ville conviviale pour l’être humain, et non pas le véhicule. Pour éviter les déplacements de véhicules de courte durée, nous avons besoin de services de base dans tous les quartiers, y compris les transports en commun.

 

(Source : PVQ-Montarville)