Pablo Rodriguez à la rencontre des artistes de Montarville

Ministre du Patrimoine canadien et du Multiculturalisme

Le ministre du Patrimoine canadien et du Multiculturalisme, Pablo Rodriguez, était en visite dans Montarville cet après-midi. Dans les locaux du bureau de circonscription du député Michel Picard, M. Rodriguez est allé à la rencontre d’une dizaine d’artistes peintres et d’organismes culturels et communautaires de la région.

« Ce sont des édifices que nous tenons pour acquis. Nous ne voyons pas le monde sans ces monuments, qui ont pourtant survécu à tant d’invasions, de guerres. Mais c’est possible, un jour, que ceux-ci n’existent plus. » – Le ministre du Patrimoine canadien Pablo Rodriguez

Les artistes peintres RaShel, VéroniKaH, Chantal De Serres, Carole Laliberté, Jean-Pierre Neveu, Serge Babeux, Toussaint Riendeau, André van Melle ont répondu à l’invitation du bureau de Michel Picard. Leurs toiles avaient été accrochées aux murs en vue de la visite du ministre Pablo Rodriguez. Malgré l’absence de Jade Picard, ses toiles faisaient aussi partie de cette courte exposition. « C’est spectaculaire!, lance M. Rodriguez, interrogé par Les Versants. Il y en a pour tous les goûts! J’apprécie ce que fait Michel Picard pour les artistes d’ici. »
En effet, il est fréquent que le député de Montarville expose les toiles d’un artiste local dans ses bureaux pendant une certaine période de temps. « Je trouve que c’est une belle vitrine pour les artistes », poursuit celui qui est aussi le député d’Honoré-Mercier.
Lors du passage de l’homme politique, les artistes peintres étaient aussi accompagnés de représentants d’organismes communautaires et culturels : Richard Pelletier de la Société d’histoire de Saint-Basile-le-Grand, Alex Bialosh de la Légion royale canadienne – filiale 147 Montarville, de même que Ginette Larocque Gubbe du Théâtre Saint-Bruno Players.
Quand on lui demande sa réaction concernant l’incendie qui a détruit, lundi, une partie de la cathédrale Notre-Dame de Paris, le ministre du Patrimoine canadien a lâché ces mots : « Tristesse… d’une profonde tristesse. » Et d’ajouter, après une courte pause : « Ce sont des édifices que nous tenons pour acquis. Nous ne voyons pas le monde sans ces monuments, qui ont pourtant survécu à tant d’invasions, de guerres. Mais c’est possible, un jour, que ceux-ci n’existent plus. »
Plus de détails à venir.