Jazz St-Bruno ouvre ses portes

Les premiers résidents de Jazz St-Bruno ont fait leur entrée le 4 janvier dernier. Une journée portes ouvertes avait lieu ce dimanche après-midi.

Ils étaient entre 400 et 500 à franchir les portes de la résidence Jazz St-Bruno, sur la rueRoberval, dimanche après-midi.

Parmi eux, plusieurs provenaient de Saint-Bruno. D’autres arrivaient des villes limitrophes, comme Sainte-Julie et Boucherville. Certains ont déjà vécu à Saint-Bruno, ont quitté la municipalité, puis rêvent maintenant de revenir s’y établir. Enfin, il y avait aussi beaucoup d’amis des résidents actuels.

Les portes ouvertes de Jazz St-Bruno n’était pas un événement unique. Tout le réseau des résidences Cogir faisait de même dimanche. « C’était un moyen de faire connaître les résidences, faire découvrir nos équipes et les services offerts », explique au journal Les Versants la vice-présidente, communication marketing chez Cogir Immobilier, Claudelle Lavallée.

« Jazz St-Bruno vient tout juste d’ouvrir ses portes. L’attrait était là, l’engouement. Nous avons profité de l’occasion pour accueillir les citoyens. Depuis le temps que les gens d’ici en entendent parler, l’intérêt pour la résidence est grand », complète la directrice adjointe de Jazz St-Bruno, Chantal Galarneau.

« C’est du jamais-vu! » -Brigitte Pouliot

Le journal a eu droit à une visite guidée, quelques jours avant les portes ouvertes officielles. Bien que les résidents ont pu gagner leur nouveau logis, tout n’est pas terminer dans ce qui deviendra « la plus grande maison de leur vie ». Les salles communes, surtout, restent à être compléter : la piscine, l’allée de bowling, la bibliothèque, la salle de cinéma, le gymnase… On cible le 25 avril. Quant à l’ouverture du Bistro La Rabastalière, on vise plutôt le mois de mai.

Cette visite guidée nous a permis d’apprendre que le taux de location avait atteint 85 %. C’est-à-dire que 150 des 233 appartements sont occupés. Pour le moment, il y a 178 résidents. Dès le début du mois d’avril, ce chiffre grimpera à 200 occupants. « Ce qui impressionne, c’est la vitesse de location. La vitesse à laquelle les gens ont signé. Les gens avaient hâte! Nous avions une dizaine de rendez-vous par jour », commente la directrice des communications chez Cogir, Brigitte Pouliot.

Le bureau de location s’est ouvert le 28 juin 2020, quelques jours après la première pelletée de terre. Au début de l’année suivante, en février 2021, le taux de location frisait le 50 %, soit l’objectif que les dirigeants s’étaient fixés pour le mois d’août. « C’est du jamais-vu! », insiste Mme Pouliot.

Quand on demande ce qui peut expliquer ce phénomène, Chantal Galarneau rappelle que le projet était connu, avant même d’être construit. « Le projet était connu depuis longtemps. Les gens ont eu le temps de faire leur réflexion. C’est un projet qui a beaucoup fait jaser à Saint-Bruno. C’est un immeuble qui a suscité la controverse. Les gens étaient curieux. L’intérêt a grandi. Ça peut avoir contribuer… », dit-elle.

D’après Mme Pouliot, la pandémie a aussi aidé à attirer des résidents. Elle évoque le boom immobilier, le qualifiant d’incitatif pour déménager. « C’était le temps pour vendre, les gens ont vendu leur maison! C’était le bon moment. Beaucoup devaient rentrer ici plus tard; ils ont plutôt vendu leur demeure en juin ou juillet dernier. »

QUESTION AUX LECTEURS :
Avez-vous visité les installations de la résidence Jazz St-Bruno?