Deux femmes se joignent à l’organisme

Club Richelieu de Saint-Bruno

Deux nouvelles membres adhèrent au Club Richelieu de Saint-Bruno. Il s’agit d’Hélène Bouchard ainsi que d’Angela Parent.
« En 2019, nous avons accueilli deux nouvelles membres au Club Richelieu de Saint-Bruno », mentionne fièrement le président de la Fondation Richelieu de Saint-Bruno et agent de communication du Club Richelieu de Saint-Bruno, R/Yves Blais.
Lors de son souper-bénéfice de 2016, le Club Richelieu de Saint-Bruno, conscient de l’apport important que pourraient avoir des membres féminins, a annoncé qu’il était maintenant mixte et a lancé un appel à tous, hommes, femmes d’affaires, professionnels et entreprises pour adhérer au Club. « Trois ans plus tard, nous accueillons nos deux premières membres, ce qui nous en fait 27 actuellement, et nous continuons notre recrutement pour trouver de futures candidates », explique, au journal Les Versants, R/Yves Blais.

« En 2019, nous avons accueilli deux nouvelles membres au Club Richelieu de Saint-Bruno. » – R/Yves Blais

Une première

En effet, depuis le début de l’année 2019, le Club Richelieu de Saint-Bruno a accueilli comme membre la première femme à se joindre à l’organisme. Il s’agit de la présidente de la compagnie MBM Gestion parasitaire, Mme Hélène Bouchard. MBM Gestion parasitaire est une entreprise que Mme Bouchard a fondée en 2012. Elle-même technicienne en gestion parasitaire, elle est l’une des rares femmes entrepreneures à la tête d’une entreprise dans ce domaine au Canada. Mme Bouchard est également vice-présidente de l’Association québécoise de la gestion parasitaire (AQGP).

Une deuxième membre féminine au Club

Également, une deuxième femme a été intronisée comme membre au sein du Club Richelieu de Saint-Bruno. Il s’agit cette fois de la directrice générale du Manoir Saint-Bruno, Mme Angela Parent. Rappelons que le Manoir Saint-Bruno est une résidence pour aînés et retraités, fondée en 1997, installée au cœur de la municipalité de Saint-Bruno-de-Montarville et membre du Groupe Alfid.
Quand on lui demande pourquoi ces deux femmes en particulier, M. Blais répond : « Disons que nous avons pris notre temps pour trouver des femmes d’affaires et des administratrices d’entreprises qui étaient disponibles et qui souscrivaient à notre mission qui est de favoriser l’aide à l’enfance et à la jeunesse, de promouvoir la langue française et les cultures qu’elle véhicule et de travailler au développement de la personnalité de ses membres. Comme les femmes d’aujourd’hui sont très occupées et ont souvent deux rôles à jouer, femme d’affaires et maman, il est difficile pour plusieurs d’entre elles de se libérer pour faire partie d’un club de service. »
Le Richelieu International, club de service uniquement masculin lors de sa fondation en 1944, accepte les femmes depuis 1982. Petit à petit, au cours des années 1990 et 2000, elles se sont frayé un chemin à l’intérieur du mouvement et, aujourd’hui, elles représentent 40 % des membres actifs et sont considérées comme la force vive du Richelieu.

QUESTION AUX LECTEURS :

Que pensez-vous de la venue de ces deux femmes au sein du Club Richelieu de Saint-Bruno?