Daniel Dupuis mise sur la crédibilité de la gestion

Daniel Dupuis se porte candidat dans la circonscription de Saint-Bruno-de-Montarville, pour l’Équipe PAGE, aux élections scolaires du 2 novembre. Comptable agréé de formation et père de deux enfants, il se présente afin d’apporter son expertise à l’amélioration de la gestion de la Commission scolaire des Patriotes.

« En tant que gestionnaire, je me préoccupe grandement de la gestion de la commission scolaire. C’est à même nos impôts et nos taxesqu’elle est financée, il est donc justifié de s’interroger sur l’utilisation qu’elle fait des sommes qui devraient être consacrées à l’éducation de nos enfants », souligne M. Dupuis.

Pour démontrer son point de vue, M. Dupuis relate quelques réalisations des commissaires :

–       En août,tous les commissaires présents, sauf Richard Bourgouin, approuvent un budget déficitaire de 5.1 millions de dollars pour l’exercice 2014-2015;

–       En août, le gouvernement demande un plan de redressement afin d’éliminer le déficit budgétaire;

–       En septembre,tous les commissaires présents, saufRichard Bourgouin, approuvent la coupure de l’aide au devoir dans leur plan de redressement. Pourtant, le bilan éducatif est peu reluisant : le taux de diplomation des garçons n’a pas bougé en 4 ans, à 68.8%, alors que l’objectif de la CSP, convenu dans la convention avec le ministère, était d’atteindre 72.8% en 2012-2013;

–       En octobre, le gouvernement désapprouve publiquement cette coupure, s’interroge sur la gestion de la CSP et envoie un vérificateur sur place pour lui faire rapport;

–       Depuis 4 ans (2010 à 2014), sous la présidence de Mme Roberge, il y a eu 3 années déficitaires sur 4, pour un grand total déficitaire de 4 718 320 $. La commission scolaire voisine, Marie-Victorin, a fait un excédent de 1 403 180 $ durant cette même période (3 années en surplus et une année en déficit, 2014). Exactement le contraire! Or, les déficits sont payés par les principales sources de revenus de la commission scolaire, soit : nos taxes scolaires,etle gouvernement, à même nos impôts.

« Si vous arrivez à la même conclusion que moi, les électeurs de Saint-Bruno-de-Montarville doivent mettre en place, à la commission scolaire, un gestionnaire d’expérience qui saura mettre de l’ordre dans la gestion tout en gardant l’élève au cœur de ses décisions », conclut le candidat. (OW)