L’action est à l’aréna Michael-Bilodeau
Le 37e Tournoi provincial de hockey peewee de Saint-Bruno-de-Montarville
Le 37e Tournoi provincial de hockey peewee de Saint-Bruno-de-Montarville bat son plein du 27 novembre au 10 décembre. Les matchs sont disputés à l’aréna Michael-Bilodeau.
L’ouverture officielle de l’événement aura lieu ce vendredi 1er décembre. La mise au jeu protocolaire se tiendra au milieu de la patinoire, à compter de 19 h 15, notamment en présence du conseiller municipal Martin Guevremont. La rencontre mettra aux prises deux formations peewee AA, le Phénix du Richelieu (organisation composée de Montarvillois et de Grandbasilois) et les Devils de Mont-Royal – Outremont.
« J’ai dû refuser beaucoup d’organisations. Ça démontre la très forte popularité de notre tournoi. » – Jim Colonel-Bertrand
Un match de catégorie peewee BB, entre le Phénix du Richelieu et le Blitz de Varennes, suivra vers 20 h 30.
52 équipes, 800 joueurs
Le Tournoi provincial de hockey peewee de Saint-Bruno est complet depuis le début du mois de septembre. La compétition accueillera 52 clubs, dont une formation provenant de l’Ontario. Saint-Bruno-de-Montarville sera représentée par cinq délégations : les Aigles (peewee A), les Éperviers (peewee B), les Faucons (peewee C) et le Phénix du Richelieu à deux reprises (peewee AA-BB). Au total, la municipalité ouvrira ses portes à quelque 800 joueurs de 11 et 12 ans. Des retombées certaines pour les commerçants de la région. « J’ai dû refuser beaucoup d’organisations, plaide le nouveau président de l’événement, Jim Colonel-Bertrand, qui succède à Marc Savard. Ça démontre la très forte popularité de notre tournoi. »
« Un problème qui n’arriverait pas si Saint-Bruno-de-Montarville était équipée d’une deuxième glace », déplore le président. Mais c’est un projet qui n’est pas dans les plans de l’administration du maire Martin Murray. « Notre événement est très populaire, mais la seule raison pour laquelle je ne peux pas accepter plus d’inscriptions, c’est le manque de glace supplémentaire. C’est un handicap, car sinon, nous pourrions avoir une participation bien plus élevée », de poursuivre Jim Colonel-Bertrand.
Selon lui, le niveau relevé du jeu, l’ambiance dans l’aréna avant, pendant et après les rencontres, les prix de présence, les trophées distribués, la musique… assurent la notoriété de ce rendez-vous annuel.
L’action du tournoi peewee se déroulera dans les catégories AA (8 équipes), BB (8 formations), A (16 clubs), B (12 groupes) et C (8 places). D’après Jim Colonel-Bertrand, les équipes de Saint-Bruno-de-Montarville ont de bonnes chances de se retrouver en finale de leur catégorie. « Nous avons cette saison des clubs très forts qui maintiennent d’excellentes fiches victorieuses. »
Nouvelle plateforme Internet
Outre le nouveau président de l’événement, qui prend le flambeau après les trois années (2014 à 2016) en poste de Marc Savard, un nouveau site Internet, consacré uniquement au Tournoi, vient d’être lancé au coût de 970 $. « C’est le plus gros changement pour cette année. Le logiciel Spordle, qui nous connecte avec Hockey Québec, permet d’améliorer de beaucoup la gestion administrative du tournoi et de gagner du temps avec les statistiques, les horaires et les inscriptions. »
En plus de son rôle de président du Tournoi provincial de hockey peewee, Jim Colonel-Bertrand est directeur des événements spéciaux de l’Association du hockey mineur de Saint-Bruno-de-Montarville. Dans l’éventualité que les Championnats régionaux soient présentés ici au printemps 2018, il se penchera sur leur organisation.
Entraîneur-chef dans la catégorie atome B, celle dans laquelle évolue son fils, le principal intéressé estime que la compétition qui se déroule actuellement est l’occasion de faire briller l’Association du hockey mineur. « À travers nos événements et le sérieux de nos gestionnaires et de nos administrateurs, l’Association a bonne réputation. »
Le tournoi annuel profite aussi à cet organisme sportif, qui, grâce aux retombées économiques, finance l’achat de matériel d’entraînement.
QUESTION AUX LECTEURS :
Croyez-vous que Saint-Bruno-de-Montarville aurait besoin d’une deuxième glace?