Les crimes d’honneur, une plaie non dissimulable
(Lettre envoyée au premier ministre du Canada, Steven Harper, et au ministre de la Citoyenneté, de l’Immigration et du Multiculturalisme, Jason Kenney
Un éminent criminaliste a rappelé que la notion de « crime d’honneur » n’existe pas dans le Code criminel canadien. Cependant, elle n’en demeure pas là, car il ne s’agit pas d’un drame conjugal commis par un homme jaloux, mais d’un devoir de tuer pour sauver l’honneur de la famille, où la présumée coupable est sanctionnée pour un ou des écarts de conduite. Ce n’est donc pas un problème ou un drame courant.
Selon Shahrzad Mojab, experte universitaire dans les crimes d’honneur du Moyen-Orient, la recherche académique démontre que le concept de crime d’honneur est exporté vers l’Amérique du Nord et en Europe par des familles immigrantes qui s’accrochent à leur culture! Après avoir précisé qu’il existait des cas où même les membres féminins de la famille, et en particulier des mères, participaient dans des crimes d’honneur, Mme Mojab a déclaré que même une rumeur peut causer la mort d’une jeune femme. Souvent, ces crimes sont commis avec la complicité de plusieurs membres de la famille. Aussi, études et recherches prouvent qu’au cours des douze dernières années, le nombre de crimes d’honneur a augmenté de façon significative au Canada.
N’a-t-il pas été prouvé, hors de tout doute, que l’islamisme est un cancer qu’on ne guérit pas avec des accommodements? Pourquoi y ajouter des victimes lorsqu’on a d’autres missions plus humanitaires à accomplir? Ne serait-il pas temps de décréter un « Code de vie » avant d’accepter une classe d’immigrants qui méprise le mode de vie et les valeurs occidentales? Il reste à souhaiter que le droit pénal renferme les moyens d’action nécessaires pour condamner sévèrement ces crimes d’honneur, qui se commettent à l’encontre du régime démocratique du pays d’accueil.
Avec les soldats d’Allah devenus envahissants, on n’a pas le droit de dissimuler cette calamité!
Serge Rathle,
Saint-Basile-le-Grand