L’émergence probante d’un scandale HALAL

Depuis plus d’un quart de siècle, des médias prônant le multiculturalisme dans le sens vaste du mot ne tenaient pas compte de l’ascension éventuelle de la dictature du prolétariat. Des fêtes religieuses, dont « Iftar Ramadan », étaient célébrées à Montréal. Politiciens et autres dignitaires faisaient partie des convives majoritairement musulmans. Pendant ces années, des islamiques et imams ont profité de cette présumée amitié pour s’infiltrer au pays. Par une politique nébuleuse, on trouve à Montréal, à Québec et au Canada de nombreuses mosquées dirigées par des imams qui non seulement ont de nombreux adeptes, mais encore qui invitent des conférenciers d’outre-mer prêchant haine et hostilité contre le libertinage occidental!

Ces faits représentent indubitablement un danger à court ou long terme et nous amènent à nous poser les questions suivantes : « Utilise-t-on un moyen politiquement correct pour obtenir des faveurs? Se sert-on des commissions d’enquête qu’on étire sans fin connue pour faire oublier aux Québécois leur devise? Qu’attend-on pour mettre fin aux rituels religieux, qu’ils soient cachers ou halals? Il est décevant de constater en 2012 que nos têtes dirigeantes régressent avec génuflexion face à ceux qui usurpent sur les droits du pays qui les accueille et empiètent sur le domaine réservé aux autorités judiciaires! Les raisons invoquées sont une offense à un jugement sain. Ce mépris va à l’encontre du slogan « Maître chez nous », exprimé avec fierté par l’ex-premier ministre Jean Lesage durant les années 1960.

Les complaintes des citoyens face à l’indifférentisme de nos gouvernements mènent à l’obscurantisme. Ne dit-on pas : « Ceux qui refusent de voir la fièvre brisent le thermomètre » ? Il a été prouvé que parmi les terroristes qui sèment la terreur dans différents pays occidentaux, il y en a qui vivent parmi nous. Contrairement aux poulets sans défense que l’on égorge lors d’un rite religieux, notre peuple ne devrait pas sauter comme les moutons de Panurge sans réaliser un danger latent.

Si tout chemin mène à Rome, pour les fondamentalistes islamiques, toute action terroriste mène à Allah. Quel espoir avons-nous de les assimiler à nos valeurs? Méfions-nous des paraboles des flibustiers.

Serge Rathle

Résidant de Saint-Basile-le-Grand