Après la mafia, la charia?
Madame Kathleen Weil, ministre provinciale de l’Immigration et des Communautés culturelles, Monsieur Kenny Jason, ministre fédéral de la Citoyenneté, de l’Immigration et du Multiculturalisme,
Le 21 octobre dernier, le Journal de Montréal nous apprenait que, même si l’imam Saïd jaziri a été expulsé du pays en septembre 2007 vers la Tunisie, son nom figurait toujours au conseil d’administration de l’Association coranique de Montréal comme secrétaire, que sa femme, Nancy-Ann Adams, est nommée vice-présidente et qu’elle peut compter sur l’aide de Mohamed et Adel Jaziri, les frères de Saïd, arrivés de France au cours des dernières semaines! Pour des raisons nébuleuses, Hassouna Abdelkader, président élu à l’association, a été exclu du CA. Triomphe de la magouille!
Récemment, deux prédicateurs islamiques, Hanz Tzortzis et Abdel Raheem Green, ont donné une conférence à Montréal, organisée par la Islamic Education and Research Academy; des dizaines de personnes étaient présentes.
La présence des islamiques au pays est plus redoutable que la mafia. D’abord, à cause de leur prolificité, ensuite parce que leur adaptation à notre mode de vie est nulle; ils ont des œillères qui les empêchent de voir clair.
Ne soyons ni dupes ni complices de ces manipulateurs d’opinions politiques. Sans généraliser, des membres de ces associations renferment des fléaux du genre humain qui ont pour objectif l’instauration de la charia au pays; ces tentatives ne datent pas d’hier.
Cependant, indépendants financièrement, souvent ils se servent des femmes et des filles voilées pour aboutir à leur fin, d’une façon politiquement correcte. Peut-on oublier les atrocités qui se commettent chez nous et ailleurs au nom d’Allah? Peut-on ignorer les coûts des guerres sans fin et les mesures de sécurité engendrées par leur haine des présumés envahisseurs, avec les pertes de vies : kamikazes – enfants soldats militaires? Pourquoi laisser à nos enfants un cadeau empoisonné? Ne dit-on pas : « Mieux vaut prévenir que guérir. »?
Je souhaite qu’on ose prendre les bonnes décisions qui s’imposent pour le bien-être de notre collectivité nationale.
Je demeure respectueusement un citoyen reconnaissant et dévoué envers son pays d’accueil.
Serge Rathle
Résidant de Saint-Basile-le-Grand