À vos signets!
En novembre, découvrez Fred Vargas…
Ceux qui croient que Fred Vargas est un homme, détrompez-vous! Nouvelle reine du polar, Fred Vargas est bel et bien une femme. Si vous n’avez encore jamais lu un de ses romans policiers, plongez sans tarder dans son univers poétique, décalé, et résolument contemporain!
L’Armée furieuse (2011)
Une petite dame âgée attend le commissaire sur le trottoir; il n’y a qu’à lui qu’elle veut parler. Une nuit, dans son village, sa fille a vu « l’Armée furieuse », une cohorte de morts vivants qui vient enlever les âmes mauvaises. Meurtriers, voleurs, tous ceux qui n’ont pas la conscience tranquille se sentent menacés. Cette vieille légende est le signe que de multiples assassinats vont se produire. Loin de sa circonscription, Adamsberg va pourtant accepter d’aller enquêter sur place.
Un lieu incertain (2008)
Le commissaire Adamsberg pensait que ses trois jours à Londres se résumeraient à ce colloque de flics auquel on l’avait convié. Il n’imaginait certainement pas trouver une vingtaine de chaussures et de pieds coupés, soigneusement alignés, en face des portes du cimetière de Highgate! Tandis que l’enquête anglaise débute, les Français rentrent au pays et se retrouvent confrontés à un terrible massacre dans un pavillon de banlieue.
Dans les bois éternels (2006)
Adamsberg est confronté à des résurgences de son passé qui le déstabilisent fortement. L’enquête qu’il mène sur la mort de deux hommes qui se sont fait trancher la gorge à la Porte de la Chapelle le remet en présence d’Ariane Lagarde, la médecin légiste à laquelle il s’était opposé quelque vingt-cinq ans auparavant.
Sous les vents de Neptune (2004)
Adamsberg et son équipe du CIAT sont invités au Québec, à Hull-Gatineau, pour « Une formation de deux semaines ciblée sur le traitement des empreintes génétiques ». La semaine qui précède leur départ, le commissaire tombe sur un entrefilet dans la presse, « Une jeune fille assassinée de trois coups de couteau à Schiltigheim », lorsqu’un malaise l’étreint brutalement.
Pars vite et reviens tard (2001)
On l’a peint soigneusement sur les treize portes d’un immeuble, dans le 18e arrondissement de Paris : un grand 4 noir, inversé, à la base élargie. En dessous, trois lettres : CLT. Le commissaire Adamsberg les photographie, et hésite : simple graffiti, ou menace? À l’autre bout de la ville, un ancien marin breton devenu crieur de nouvelles est perplexe. Depuis trois semaines, une main glisse à la nuit d’incompréhensibles missives dans sa boîte à messages. Un amuseur? Un cinglé?
Une collaboration de Bianca Brindle, technicienne en documentation à la bibliothèque Roland-LeBlanc