Un souper spaghetti permet de récolter 3 300 $
Maison des jeunes Saint-Bruno
Un 2e souper spaghetti au profit de la Maison des jeunes (MDJ) de Saint-Bruno, lors duquel s’étaient rassemblés l’administration municipale, les députés de la circonscription, les partenaires et quelques organismes communautaires montarvillois, s’est déroulé le vendredi 7 octobre dernier. Cette année, au lieu d’être au domicile des ados, l’événement a été organisé au Centre Marcel-Dulude; une occasion d’accueillir davantage de visiteurs. L’activité a permis d’amasser une somme de 3 300 $.
Grâce à la vente de prix mis à l’encan, aux billets d’entrée vendus, au jeu du moitié-moitié et à deux dons, la MDJ Saint-Bruno a récolté un montant de 3 300 $, soit 1 320 $ de plus que lors du 1er souper spaghetti. L’argent amassé servira entre autres aux activités de la MDJ, ainsi qu’à l’achat du matériel nécessaire.
L’emplacement de la fête, aussi, contrairement à l’an dernier, a permis des améliorations : cette fois, plus de 200 personnes se sont massées au Centre Marcel-Dulude, un différentiel de 60 convives, si l’on compare encore à 2010. « Nous sommes très satisfaits! Un mois et demi avant le 7 octobre, soirée du souper spaghetti, il ne restait déjà plus de billets! Je suis aussi très fière de mon équipe de 20 jeunes bénévoles de la Maison qui s’est impliquée à l’accueil, au service aux tables. On les appelait nos « petites abeilles ». Ils ont aidé à placer la salle avec nous, mais aussi à la démonter à la fin de la soirée », explique au journal la coordonnatrice de la MDJ de Saint-Bruno, Caroline Gauthier.
Des représentants du Club de l’âge d’or de Saint-Bruno, du Club optimiste Mont-Bruno (Le Manoir), de Minta, du Club Richelieu, et de la Caisse Desjardins, notamment, étaient sur place afin d’encourager la cause de la MDJ. L’idée derrière ce souper spaghetti, en plus d’amasser des profits, étant, au départ, de rassembler différents organismes communautaires de la municipalité. « Deux témoignages de parents ont permis d’informer les gens de ce qu’était vraiment la Maison des jeunes, de les informer et de défaire quelques préjugés qui pourraient encore subsister », de poursuivre la coordonnatrice.
Une vidéo a également été projetée afin de montrer tout ce qui a été fait et accompli au cours de l’année par les jeunes de la MDJ.
Parce qu’il s’agit d’un « bon autofinancement », de l’activité la plus lucrative pour la MDJ, il est question que le souper spaghetti devienne maintenant une tradition : « C’est une belle façon de rencontrer l’équipe de la Maison et les jeunes. »
Rappelons que la dette d’hypothèque de 70 000 $ de la Maison des jeunes a été réglée complètement plus tôt cette année grâce à la collaboration entre la Ville et le Club Richelieu, chaque instance ayant donné respectivement 50 000 et 20 000 $.
