Trans-Herbe nommée Entreprise de l’année

Les 34es Prix Excellence

Les honneurs s’accumulent pour Trans-Herbe. Le fleuron de Saint-Bruno-de-Montarville vient d’être sacré Entreprise de l’année aux plus récents Prix Excellence, tenus le 2 mai à Brossard.
Trans-Herbe a remporté le prix Entreprise de l’année dans le cadre du 34 Gala Dominique-Rollin, organisé par la Chambre de commerce et d’industrie de la Rive-Sud (CCIRS). L’institution montarvilloise a de plus reçu une autre distinction dans la catégorie « manufacturier et/ou de distribution de 10 millions et plus ».

1992
C’est l’année de fondation de l’entreprise Trans-Herbe.

Les Ambassadeurs de l’Excellence, tout comme les parrains et les partenaires de l’événement, s’entendent pour dire qu’à nouveau, les entreprises sélectionnées témoignent de la qualité des entreprises d’ici. « Que vous repartiez avec un trophée ou non, vous êtes tous des gagnants, parce que vous contribuez à l’explosion de l’économie de la grande Rive-Sud et au dynamisme économique du Québec », de souligner la présidente de la CCIRS, Catherine Brault.
Le prix Coup de cœur du jury a été décerné à l’entreprise Be One Breed, de Saint-Mathieu-de-Beloeil. Le prix Développement durable a, quant à lui, été remis à l’entreprise Éco cuisine Design, de McMasterville.
Plusieurs autres lauréats ont été nommés au cours de cette soirée, notamment de Boucherville et de Longueuil.
Rappelons que récemment, Trans-Herbe se retrouvait au sein des lauréates des Sociétés les mieux gérées du Canada. Un an jour pour jour après avoir obtenu une aide financière de 44 000 $ du gouvernement du Canada, Trans-Herbe s’illustrait à nouveau. La conceptrice de thés et tisanes biologiques et équitables se classe parmi 43 autres compagnies au pays, selon le 25e programme annuel de Deloitte sur les Sociétés les mieux gérées au Canada. « C’est une belle reconnaissance de la part de l’industrie. C’est une distinction qui permet de réaliser que Trans-Herbe fait partie des entreprises gagnantes; un bel honneur », avait déclaré la directrice générale de Trans-Herbe, Karine Pomerleau.
Ces entreprises représentent l’élite des sociétés privées détenues et gérées par des Canadiens, et dont les revenus annuels sont supérieurs à 15 millions de dollars. Pour Mme Pomerleau, c’est synonyme de notoriété, auprès des clients et des fournisseurs, et aussi reconnaissance dans le grand Canada : « Ça démontre tout le sérieux de l’entreprise. »
Fondée en 1992 par Johanne Dion, Trans-Herbe se spécialise dans la transformation d’herbes et d’épices pour en fabriquer des thés et des tisanes recherchés par les connaisseurs. Son objectif est d’être le chef de file dans le développement et le conditionnement de thés et de tisanes. Et pour cause, Trans-Herbe est reconnue à travers le monde, puisqu’elle dessert des clients dans plusieurs pays : États-Unis, Japon, Taïwan et Australie, pour n’en nommer que quelques-uns. Aujourd’hui, la directrice générale de Trans-Herbe est Karine Pomerleau, l’une des filles de Johanne Dion.
Au cours de la dernière année, Trans-Herbe a présenté ses thés Four O’Clock et ses tisanes sur le marché scandinave et en a fait la promotion, notamment grâce aux fonds d’Agri-marketing du gouvernement canadien.
Aujourd’hui, les employés de Trans-Herbe créent 2 millions de sachets de thé et tisane par jour.

QUESTION AUX LECTEURS :

Consommez-vous les produits de Trans-Herbe?