Jour de collecte pour la Grande guignolée des médias de la Rive-Sud à Saint-Bruno
C’est aujourd’hui que se déroule la collecte dans les rues de Saint-Bruno-de-Montarville pour la Grande guignolée des médias de la Rive-Sud (GGMRS).
Entre 7h00 et 9h00, les bénévoles étaient présents à neuf intersections de la ville afin d’y recueillir les dons des citoyens qui y passaient. Puis, entre 10h00 et 16h30, les citoyens qui se rendent aux Promenades Saint-Bruno auront l’occasion de faire des dons à l’intersection des boulevards des Promenades et Saint-Bruno, ainsi qu’en face du 1251 boulevard des Promenades. Les personnes qui souhaitent effectuer des dons et ne peuvent pas se déplacer aux points de collecte peuvent également faire des dons par l’entremise du site internet de la GGMRS.
Cette collecte a été possible en 2021 avec la réduction des mesures sanitaires liées à la pandémie de COVID-19. La collecte de 2020 avait pour sa part été annulée et ne s’était fait que de manière virtuelle afin de réduire autant que possible les risques que le virus ne se propage durant un tel événement. Avec les dons en argent et en denrées qui seront effectués durant la journée, les organisateurs de la GGMRS souhaitent amasser une valeur approximative de 450 000$. Ces ressources seront ensuite redistribuées à des organismes communautaires des villes de Longueuil. Pour Saint-Bruno, c’est le Centre d’action bénévole Les p’tits bonheurs qui recevra les dons effectués par les Montarvillois.
Financement pour 2022
Avec les sommes d’argent et les denrées amassées lors de la Grande guignolée des médias de la Rive-Sud, l’organisme devra financer la plupart de ses activités pour l’année 2022. C’est que la guignolée est la plus grosse collecte de l’année en termes de ressources amassées. « Après la guignolée, nos besoins sont loin d’être terminés pour l’année », dit le directeur de l’organisme, Sylvain Morin. « Grâce à la guignolée, nous pouvons assurer le financement annuel et avoir une réserve alimentaire pour le principal service de l’organisme, le comptoir alimentaire. »
M. Morin indique que cette année devrait être moins difficile que la précédente en termes de nombre de personnes qui font des demandes d’aide auprès de son organisme. « Les demandes avaient triplé pendant quatre ou cinq mois quand a débuté la pandémie, mais ce n’est plus comme ça, maintenant. Depuis quelques mois, les chiffres ont baissé, mais ils demeurent plus hauts qu’avant la pandémie. »