Aperçu de la consultation publique

Saint-Bruno-de-Montarville

Ce jeudi soir se tenait la consultation publique de la Ville de Saint-Bruno-de-Montarville sur le projet de développement de mise en valeur de l’îlot Natrel.
Dès le début de la consultation publique, à 16h30, une file de citoyens se formait dans le Centre Marcel-Dulude.
À l’intérieur, les attendaient diverses affiches démontrant les orientations, les visions et quelques kiosques, notamment celui de Cogir Immobilier, le promoteur du projet de résidences privées pour personnes âgées. Quelques employés de la Ville se tenaient dans la salle pour répondre aux questions.
Les pour
Plusieurs citoyens se disaient intéressés ou en faveur du projet de Cogir, notamment en raison des espaces qui sont prévus, mais pas confirmés, à des fins communautaires et commerciales.
Frédéric Soucy, président de la société de gestion de Cogir Immobilier, a mentionné que des gens l’ont même approché. Une partie des Montarvillois serait déjà curieuse de connaître la date d’ouverture de la résidence, les activités qui seront offertes et les plans, qui ne sont pas encore dessinés.
Les contre
En contrepartie, beaucoup de citoyens trouvaient des défauts au projet. Deux constats ont été tirés de l’ensemble des commentaires.
Les Montarvillois ne sont pas contre le projet de résidence pour personnes âgées, toutefois ils souhaitent qu’ils se trouve ailleurs que dans le centre-ville de Saint-Bruno. Effectivement, certains craignent pour l’aspect du cœur du village et considèrent que le Manoir suffit.
L’autre constat est que beaucoup de gens aimeraient que la clientèle soit plus diversifiée, pas que des personnes âgées. » On comprend qu’il y a une demande pour des résidences de personnes âgées parce que la population est vieillissante, mais il faut penser à mélanger les générations pour un concept plus inclusif « , a mentionné une participante. Une pensée qui a été partagée par plusieurs personnes aux représentants de la Ville et sur le tableau des commentaires.
Il y a eu plusieurs suggestions et critiques constructives concernant notamment l’environnement et l’aménagement.
À lire davantage dans la prochaine édition des Versants.