Le COVABAR à Saint-Bruno

Les 7e Causeries Champlain

L’organisme de bassin versant Richelieu/Saint-Laurent COVABAR (Comité de concertation et de valorisation du bassin de la rivière Richelieu) présentait les 7e Causeries Champlain la semaine dernière à Saint-Bruno-de-Montarville. La population était notamment invitée samedi au chalet Marie-Victorin afin de participer à l’Agora de l’eau.

Dans le cadre de cette Agora de l’eau, les participants étaient invités à réfléchir et à échanger sur le thème de l’eau et des milieux naturels. Animée par le président du COVABAR, Hubert Chamberland, cette assemblée publique a permis d’aborder différents sujets, comme les enjeux du Plan directeur de l’eau (PDE) des territoires des bassins versants de la rivière Richelieu et de la zone limitrophe au fleuve Saint-Laurent, de Brossard à Sorel – Tracy, ainsi que la mise à jour du Plan métropolitain d’aménagement et de développement durable (PMAD). L’événement a aussi permis d’échanger sur les constats dégagés de la journée colloque du 23 septembre. 

Cette journée de conversations et de débats a eu lieu mercredi dernier au Centre Marcel-Dulude, cette fois pour échanger avec divers spécialistes et décideurs sur les défis que représentent la protection et la valorisation de la ressource eau face à la pression des activités humaines sur les milieux naturels.

Parmi les points saillants issus de la journée des Causeries Champlain du 23 septembre, Hubert Chamberland évoque une volonté de la part des municipalités de contribuer à l’amélioration de l’environnement en souscrivant à la démarche de gestion intégrée par bassin, et que l’atteinte de résultats cohérents sur un territoire de la grandeur de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) comporte plusieurs difficultés, à savoir les juridictions variées touchant les cours d’eau.

Cette activité se situe dans le processus de mise à jour mutuelle du PDE des bassins de la rivière Richelieu et de la Zone St-Laurent, du PMAD et du Schéma d’aménagement et de gestion des eaux (SAGE) du bassin de la Charente.

Une délégation charentaise, provenant de l’Établissement public territorial de bassin (EPTB Charente), était aussi sur place.