La signature est repoussée

Entente de principe entre DASH-L et le CAPA-L

La signature de l’entente de principe entre le Comité antipollution des avions – Longueuil (CAPA-L), Développement aéroport Saint-Hubert-Longueuil (DASH-L), la Ville de Longueuil et les usagers de l’aéroport de Saint-Hubert est repoussée, puisqu’un nouvel échéancier a été décidé entre les procureurs des diverses parties, lors de leur retour devant le juge Martin Castonguay, au Palais de justice de Longueuil, le 3 juillet dernier.

Selon l’avocat du CAPA-L, « toutes les chicanes » sont réglées entre les parties. « Les détails relativement à l’entente de principe ont été convenus. C’est l’entente détaillée qui a demandé plus de temps que prévu, ce qui a retardé notre échéancier précédent. Maintenant, nous nous sommes entendus sur tous les petits détails et attendons la date de l’audition pour la requête d’homologation de la transaction. » Cette date sera déterminée selon l’agenda du juge.

Au moment de mettre sous presse, l’entente était à peaufiner. Pour l’instant, il n’est pas possible de mettre la main sur celle-ci, tant qu’elle ne sera pas présentée aux citoyens concernés par le problème du bruit des avions, soit les résidants vivant dans un rayon de 2,8 km de la fin de la piste 24G de l’aéroport de Saint-Hubert. Un avis sera publié dans le journal Le Courrier du Sud à cet effet, ainsi que sur le site Internet du CAPA-L.